Inspirant : À 28 ans, il devient milliardaire grâce à l’IA avec une fortune de 2 160 milliards FCFA !
Né en 1997 aux États-Unis de parents scientifiques d’origine chinoise, Alexandr Wang grandit dans un univers baigné de science. Très tôt, il s’initie seul à la programmation et aux mathématiques. À seulement 17 ans, il participe à des compétitions de haut niveau, crée ses propres logiciels et développe une véritable passion pour les données et l’intelligence artificielle
Du MIT à l’entrepreneuriat
Admis au prestigieux MIT (Massachusetts Institute of Technology), Alexandr n’y reste qu’un an. A seulement 19 ans, il quitte les bancs de l’université pour fonder, en 2016, Scale AI, une entreprise qui fournit des données de haute qualité pour entraîner les modèles d’IA. Son objectif : aider les machines à mieux comprendre le monde réel.
Le succès mondial
En quelques années, Scale AI devient un acteur incontournable de l’intelligence artificielle. L’entreprise travaille avec des géants comme OpenAI, Microsoft, General Motors, et même le Pentagone. Grâce à cette percée, Alexandr Wang devient l’un des plus jeunes milliardaires « self-made » au monde.
Meta rachète 49 % de Scale AI
En juin 2025, un tournant historique se produit : Meta (Facebook) acquiert 49 % de Scale AI pour 14,3 milliards de dollars(environ 8 000 milliards de FCFA). Alexandr reste actionnaire principal et rejoint Meta comme directeur de leur nouvelle division sur la super-intelligence. Cette alliance propulse encore plus son influence dans le domaine stratégique de l’IA.
Une fortune colossale : 3,6 milliards USD (environ 2 000 milliards FCFA)
Selon Forbes, sa fortune personnelle est estimée à 3,6 milliards de dollars en 2025, soit environ 2 000 milliards de francs CFA. Une richesse bâtie sur le talent, l’audace et une vision du futur.
Une inspiration pour la jeunesse africaine
L’histoire d’Alexandr Wang est bien plus qu’un conte de réussite : c’est un appel à croire en soi, malgré les obstacles. Il n’est ni issu d’une grande fortune, ni passé par un long parcours académique classique. Ce qu’il a, c’est une vision, une passion pour l’intelligence artificielle, et la volonté d’apprendre en continu.
Pour la jeunesse africaine, confrontée à des défis comme l’accès limité aux ressources, aux formations ou aux financements, son parcours rappelle une chose essentielle : le savoir est devenu accessible, notamment grâce à internet. Aujourd’hui, un jeune de Ouagadougou, Dakar, Bamako ou Goma peut apprendre à coder, s’initier à l’IA, concevoir une application, proposer des solutions aux besoins de son environnement, pourquoi pas exploser sur la plan mondial ?
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